Invitée surprise ! (13 mai ~ fin de matinée ~ Tsubaki)

Arata était arrivée a cette époque en fin de soirée la veille. Ce matin là, des larmes coulait encore sur ses joues. En quelque instant, elle avait vue sa vie basculer... Un compte inachevé avait volé en éclat... Le voeux qu'elle avait alors fait le jour de sept ans sous le regard des étoiles ne s'était pas réalisé... Sa mère, sa tante... Elles avait été enfermer dans une prison de cristal. Ses sœurs était mortes sous ses yeux et ses frères... Elle ne vais pas ce qu'il leurs était arriver... Sur son visage de nacre, les larmes coulèrent sans qu'elle ne puisse les arrêter... Pourquoi tout cela avait il changer... Pourquoi tout ce bonheur détruit ? Pourquoi avait il fait cela ?

Et alors que le ruisseau continuait a se déverser, une femme entendit les pleurs de l'enfant. Cette femme nommé Michiki Ichijô... Ichijô... Arata connaissait ce nom... Enfin... On l'avait déjà mentionner devant elle... Dans les bras de cette femme qui lui disait des paroles rassurent, elle serra Yume Tama dans ses bras et sans vraiment savoir ce qu'elle allait faire, elle murmura « Chiri » a Yume Tama, aussitôt une poussière bleu violette était apparut au creux de sa main et elle l'avais souffler au visage de Michiko. Très vite celle lui dit qu'elle allait rester chez elle pour la nuit et que le lendemain elle allait être ramener chez le grand père de Tsubaki. C'est ainsi qu'elle devin l'imouto de Tsubaki. Elle fit subir le même traitement que Michiko a toutes les personnes qu'elle croisait chez les Ichijô. Et même si il ne croyais pas beaucoup au fait qu'elle soit la petite sœur de Tsubaki, il y croyais quand même un minimum et cela était suffisant.

C'est ainsi que le lendemain de son arrivé en matinée elle fut amener en voiture chez les Hikari. Elle s'empressa bien entendu de faire agir sa poussière. Mais elle n'était pas arriver depuis a peine une heure que quelque chose la chiffonna... La pièce maitresse de son illusion... Arata ne l'avait toujours pas vue... Mais où était donc passer Tsubaki ???

Comme chaque matin, Tsubaki s'était préparée chez Marcy pour aller en cour, et comme elle n'avait pas cours l'après midi, elle appela sa mère spirituelle pour ne pas l'inquièter l'informant qu'elle passerait chez son grand père. C'est ainsi que la jeune fille arriva au dôjo dans un uniforme blanc réhaussé de rose. Le col de style marin était fait d'un foular rose qui se nouée par dessous le cool, retenue par un ruban blanc de deux lignes roses.... Une jupe qui pouvait paraitre courte au vue des formes de la jeune fille toute blanche ses cheveux retenue en hauteur par un ruban rose, faisait ressortir avec es journées ensolleillée qui s'annonçait le mauve de ses yeux et de sa cascade retombant dans son dos.... Tsubaki avait été prendre des Tournesols pour mettre dans un vase du dôjo en symbole du soleil qui revenait épanouir leurs vies... Lorsqu'elle rentra elle remarqua pas la voiture dans sa précipitation, c'est en rentrant comme une furie tandis que tous préparaient la cérémonie du thé qu'elle fit irruption...

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" Gomensai !!! je ... je gomensai !! je vais me changer je reviens ... "

Aussi elle courrue dans sa chambre, puis ouvrit son armoire, comme elle savait qu'ils préparaient une cérémonie du thé, elle décida a prendre un kimono rose imprimée et brodée de motif floraux avec une ceinture jaune pâle ce qui accentua son regard et sa chevelure qu'elle attacha en un chignon structurer, laissant échapper quelques mèches rebelles, avant de redescendre rejoindre son grand père et la famille Ichijô, lorsqu'elle apperçue en les rejoignant une petite fille qu'elle n'avait encore jamais vu.... Saluant comme il se devait puis en s'excusant...



" Bonjour, excusez mon empressement, j'ignorais que vous étiez présent... Ojiisan désire tu que je continue ? "

D'un signe de son grand père, après s'être plaçé a sa place près de celui ci a sa droite, la jeune fille opéra la cérémonie du thé, sous le regard sévère du grand père et du maitre de clan ichijô tandis que son épouse comme a son habitute souriait discrètement pour encourager la jeune fille ... Lors de ce temps ci, il eétait de mise de ne pas parler, il fallut attendre que Tsubaki serve les invités pour que Mme ichijô parle a Tsubaki...

" Tu es gracieuse Tsubaki, ton grand père nous a raconté que tu étais en pension chez une amie, j'espère que tu fais notre fiertée a tous ! "

Dans un sourire discret Tsubaki répondit de sa voix douce et docile.

" Merci madame, je suis effectivement chez une amie , grand père a accepté que je puisse être chez elle, elle m'aide pour mes devoirs et cela est plus pratique car elle habite entre le dôjo l'école et le café ... Ce qui m'évite de courir a droit et a gauche ... Mais mon coeur reste ici, mais cette expérience m'apprend beaucoup et m'aide a comprendre encore plus le monde des adultes ... "

Docilement, Arata avait suivit le grand père et la famille Ichijô pour la cérémonie du thé, jetant de petit coup d'oeil autour d'elle, cherchant Tsubaki du regard, mais impossible de la trouver... Elle tenait ses petites mains fermer car dans l'une d'elle, elle tenait la chiri qui lui permetait de s'inserrer dans les souvenir de tous. Personne ne lui avait échapper mais il lui manquant encore sa pièce maitresse... Ce cela contrariait fort la petite fille... Elle ne pouvait pas se permetre maintenant de tout envoyer en l'aire... C'était presque le seul moyen pour elle se s'inserrer a cette époque... Elle devait réussire a finir ce qu'elle avait commancer...
Pas de kimono pour la petite fille mais une longue robe noir a dentelle blanche sur une chemise de la même couleur, ses cheveux était attacher en deux couettes de chaque côté de sa tête, celle-ci attacher pas deux noeud noir a dentelle blanche assortit a sa robe. Elle était assise dans la même position que tout le monde pour la cérémonie du thé mais entre ses mains fermer poser sur ses genoux, elle tenait sa peluche chat qu'elle avait toujours avec elle. Tsubaki arriva alors. Arata fut soulager mais ne put dire un mot car elle connaissait les traditions. Elle s'était déjà assez fait taper sur les doigts dans son enfance... Enfin, façon de parler... Elle se faisait plus gentillement réprimander que vraiment taper sur les doigts...



Patiament, Arata attendit le meilleurs moment pour ouvrir sa main et souffler discrètement au visage de Tsubaki sa chiri que au le même effet que sur Seiya... En quelques secondes des souvenirs d'Arata s'insèrèrent a la mémoire de Tsubaki pour qu'elle la considère comme sa soeur. Elle afficha ensuite un grand sourire enfantin.

Hiiiii ! Onee-chan !!

Alors qu'elle avait répondu a Mme Ichijô et servit tout le monde, et en dernier la petite fille qui vêtue élégament avait attiré son regard, Tsubaki faillit renversé la tasse qu'elle lui posa devant elle, en se retournant pour tousser, quelques choses venaient gratter son petit nez et sa gorge sans qu'elle comprenne pourquoi, un éternuement, un petit kof, et la jeune fille bien qu'une muse s'ignorant ne put résister a la poussière du souvenir ... Pourtant quelques choses se passait, elle avait l'impression de connaitre cette jeune fille sans la connaitre, son kii vibrait elle le sentait, s'activant comme un torrant qui l'emporte dans un océan de souvenir... Sa mémoire déjà perdu de son enfance, celle ci apparaissait comme des photographies où une enfant semblait vouloir s'intégrer a ce souvenir, comme un souvenir rajouté.... Les paroles de l'enfant la pertubait, mais son grand coeur ne pouvait refuser une soeur, elle qui avait perdu sa mère et son père .... Elle s'excusa d'abors versles autres ...

" tchoum!!! kof .... Pardonnez moi."

Ses grand yeux, observait Arata avec un sourire tendre, son esprit embrumé, son manque de geste tendre depuis la disparition de sa grand mère, la rendait docile au charme, sans vouloir se poser de question, Arata était sa soeur, et cela seul comptait. Elle invita la jeune fille a pouvoir bouger et venir près d'elle en invitant d'un geste. Tandis que elle retourna aux invités.

" Je devrais peut être ammener ma soeur au jardin, afin de ne pas vous dérangez dans votre discution. Grand père puis je recevoir l'autorisation de nous retirer ? "

D'un geste du grand père, Tsubaki se leva et salua tout le monde, pour se diriger vers le couloir, elles pourraient bien passer directement par la terrasse, mais Tsubaki préféra reprendre le couloir, pour sortir de la maison et emmener sa soeur près de l'arbre qui était son refuge favori... Elle n'avait encore rien dit de ce qui s'était passé la vieille, mais elle n'avait put dormir, tellement de sentiments se mélanger a l'excitation et la peur .... Mais plus le temps passait, plus les souvenirs devenaient limpides et Tsubaki acceptait déjà sa petite soeur d'adoption sans s'imaginer qu'elle était victime d'un charme mais elle souriait, et tendit sa main a la petite fille cmme si celle ci avait toujours vécu auprès d'elle ...

" Viens tu Imouto chan ? "
Ses pas l promenait dans le jardin jusqu'a cet arbre où Tsubaki s'assit sous lui invita sa soeur a faire pareil. Elle attendit que l'enfant s'installe , avant de ceuillir quelques fleurs pour faire une couronne de fleur tout en fredonnant.

Même si Arata voulais être discrete, elle ne réussisait que très peut... Malheureusement pour elle, les souvenirs des gens était modifier par sa chiri que les gens inhalait et la chiri faisait éternuer tout le monde... Alors niveau discretion, ce n'était pas vraiment le mieux... Mais elle faisait bien attention a ne pas se faire remarquer la plus part du temps et puis elle ressemblait beaucoup a une petite fille innocente alors en quelques batements de cils elle réussissait tout de même a faire oublier ces petites éternuments...
Lorsque Tsubaki proposa de l'emmenner dans le parc, la petite fille affichat un grand sourire, elle était contente que sa nouvelle grande soeur pensait à tout et l'emmene loin de tout les adultes et des discutions ennuilleuses. En se levant, Arata avait remis sa longue robe en place, gardant toujours a la main sa peluche fétiche en forme de chat dont elle ne se séparrait quasiment jamais. Et bisarrement ces dernier temps, elle avait l'impression que cette peluche était plus lourde que d'habitude. Mais elle ne s'en inquietait pas vraiment car c'était depuis son arriver la veille qu'elle avait constater ce changement.
Main dans la main, la muse avait fini par mener l'esprit enfantin près d'un arbre qui était chere a l'ainée mais ça, la cadette ne le savait pas encore.

Onee-chan.... Arigatou ! Daisuki Onee-chan ! *

Elle vint se coller a Tsubaki, cherchant au près d'elle quelques calins pour combler un peu le manque d'affection dont elle souffrait en ce moment.




* Grande soeur... Merci ! Je t'adore grande soeur !

Dans le froissement du tissu de son kimono, Tsubaki d'un sourire acceuillit la petite Arata pour la caliner. Sa voix caressant la soie des cheveux de ce petit trésor, Tsubaki souria, sans vraiment répondre, ses yeux en disaient toute la réponse que l'univers pouvait apporter a la petite fille. Lentement tout en caressant la chevelure d'améthyste de sa jeune soeur, Tsubaki fredonna d'abors lentement avant qu'une brise faisant craqueter les branches du camélia semblant répondre a sa mélodie, lentement, la voix cristalline s'éleva dans les airs, mais resta basse comme une berçeuse et interdisant aux adultes de venir pénétrer dans se monde, car la jeune fille savait le risque si son grand père la suprenait a chantonner ainsi....


http://www.teletoon.fr/index.php?VideoChoisi=14&rid=40&toon_id=2250&emission_id=&cid=2348#

( ecouter le clip winx je parle un peu de moi .... )

" Je parle un peu de moi

Aux yeux de tous je suis la rebelle, rien ne m'arrête , tu le sais
Je sens le vent caresser ma peau, j'aime ma vie, ma liberté, liberté
Je rêve de mon nouveau monde, pour toi je fais que des erreurs
Tu me parles de ta génération qui passe sa vie a rêver
Pardonne moi si je ne suis pas comme tu veux.

Je parle un peu de moi, de moi et de mes seize ans
Du monde que je voudrais, parfois tu ne le comprend pas
c'est ma vie tu le sais que tu n'peux pas m'arrêter
Fais moi confiance j't'en prie, nous avons tant de choses à découvrir
j'écouterai toujours la voix de mon coeur

J'ai dans les veines un éclat d'argent et dans mon coeur la liberté
Regarde moi un instant dans les yeux parfois on se ressemble un peu
Tu ne vois pas, je suis déjà une grande fille

Je parle un peu de moi, de moi et de mes seize ans
Du monde que je voudrais, parfois tu ne le comprends pas
C'est ma vie tu le sais que tu n'peux pas m'arrêter
Fais moi confiance j't'en prie, nous avons tant de choses à découvrir
j'écouterai toujours la voix de mon coeur

Hold me, love me, just be, open your mind, open you mind
I know who i am ans i'm living my life
Hold me, love me, just be, open your mind, open you mind
I know who i am ans i'm living my life

Je parle un peu de moi, de moi et de mes seize ans
Du monde que je voudrais , parfois tu ne le comprend pas
C'est ma vie tu le sais que tu n'peux pas m'arrêter
Fais moi confiance j't'en prie

Hold me, love me, just be, open your mind, open you mind
( serre moi, aime moi, soit juste, ouvre mon esprit,)
I know who i am ans i'm living my life
( je sais qui je suis et je vie ma vie)
Hold me, love me, just be, open your mind, open you mind
I know who i am ans i'm living my life

Lorsqu'elle s'arrêta de chanter, la jeune fille soupira, malgrès que Terruki avait dit la vérité, elle n'arrivait a se faire a l'idée d'une dispute qu'engendrait la discution sur son avenir... Pourtant elle avait réussit l'audition, et la veille la soirée avait été si merveilleuse, si étrange, elle avait aimer cette vibration.... Elle repensa a son ange .... avant de reparler a sa petite soeur.

" Moi aussi je t'adore ma douce ..... qu'es ce que tu aimerais faire ? Si tu reste sage durant tout le temps ou nous avons des invités, je demanderais a grand père de bien vouloir donner l'autorisation de t'ammener au café d'accord ? "

Son coeur se pinça, le grand père ferait certainement la grimace, mais avec la petite fille il était encore plus distant qu'avec elle même, et elle se souvenait que trop bien combien dans son enfance ce regard si dur pouvait la rendre trsite, ainsi elle n'aimait pas savoir que la petite fille qui semblait si friande de calin puisse souffrir d'un manque d'affection. Mais Tsubaki elle même avait du mal a s'affirmer pour dire la vérité a son grand père, il acquièsait mal qu'elle aille chez marcy et encore moins qu'elle fréquente un chanteur... Alors ses études ou un désir de chanter risquait de tout compromettre.... La jeune fille n'avait pas non plus envie d'en arriver a une solution extrême en fuyant , même si elle le pouvait, après tout elle avait un travail, mais cela ne suffirait pas car elle devrait fuir avec arata, et arata ne pouvait s'occuper d'elle toute seule ..... Un soupir sortir de ses lèvres....

Arata se sentait bien dans la douce entrinte de celle qui était maintenant sa grande sœur. Elle aurait dû se sentir un peu coupable de tromper ainsi tout le monde, mais la petite fille de neuf ans ne pouvait pas encore comprendre et puis la vois cristalline de la muse commençait à l’envoûter, et la tête poser sur les jambes de l’aînée, les yeux de la cadette se fermèrent petit à petit. Elle connaissait cette chanson. C’était une chanson très connue de tous et surtout des jeunes a sa propre époque… En quel année était elle arriver ? Cette chanson était-elle déjà lancer ? Elle n’en savait rien… Mais elle profitait de ce moment privilégier où sa grande sœur lui chantait cette musique tel un murmure qu’elle seule pouvait entendre. Elle se sentait privilégier, apaiser… C’était une sensation agréable après avoir vu toutes ses sœurs s’écrouler sous ses yeux avant d’atterrir à cette époque.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin et la chanson aussi. Petit a petit la petite fille rouvrit les yeux pour regarde Tsubaki en réfléchissant.

A sais pas… Veux rester avec Onee-chan !

Puis elle hocha vivement la tête lorsqu’elle parlas du café. Non Arata ne voulait pas rester au dojo, le grand père ne l’apprécier pas trop. Il ne croyait pas beaucoup en elle. La petite fille se doutait bien que sa poussière ne fonctionnerait pas sur tout le monde. Peut être fonctionnait plus sur les personnes qui possédait certaine capacités. Mais cela, comme la petite fille pouvait le savoir ? Elle ne savait même pas encore qu’elle connaissait Tsubaki dans le futur…

Tsubaki soupira, arata semblait vouloir la suivre partout, seulement elle ne pouvait pas quand y avait les cours, mais la jeune fille pouvait comprendre que sa jeune soeur avait plus besoin d'affection que lorsqu'elle même était enfant... Caressant ses cheveux, elle tenta de lui sourire, réfléchissant a tout cela ....

" Arata, cet après midi je serais avec toi, mais demain y aura le précepteur, tu peux pas rester tout le temps avec moi, je sais que grand père peut avoir l'air sévère, mais tu dois me promettre d'être gentille avec lui, il ne se rend pas compte, il a ses habitudes.... "

Tsubaki réfléchissait au mieu, mais en vivant avec marcy, elle ne pouvait pas abandonner sa petite soeur, hors avec ce qu'elle savait elle ne pouvait demander a marcy de prendre sa soeur aussi, surtout vu le danger qui existait, mais une possibilitée naissait dans son esprit, si elle pouvait percevoir les choses, sa soeur le pouvait elle aussi ???

" Dit moi arata ... es ce que tu as un rêve? es ce que parfois il t'arrive de penser que tu es différente des autres ? "

Elle ne savait pas si c'était elle ou le kii qui agissait souvent, parfois elle avait l'impression que le kii ne faisait qu'amplifier sa vraie nature, a enlever se voile qui l'empechait d'avançer....Tsubaki se demanda si sa soeur pouvait être pareil, et si cela s'averait pareil, alors elle devait gérer cela avant qu'un problème surgisse... Ce qui n'était pas garantie, surtout vu la situation actuelle .... Tsubaki resta songeuse, sans trop savoir quoi rajouter, la réponse lui faisait un peu peur.... D'un autre côté si elle devait recommencer a aider seiya et yuuki sur du matériel , de plus la petite fille risquait de se douter de quelques choses si elle l'ammenait avec elle, et alors là comment aurait elle trouver des excuses afin qu'elle ne dise rien aux grand pères .... Tsubaki se senti perdu ...

Docilement Arata avait aquiesser. Elle avais maintenant l'habitude d'être gentille avec tout le mond, même ceux qu'elle n'aimait pas... Elle savait d'ailleur maintenant qu'il fallait se méfier des gens trop gentil. C'était quelqu'un de gentil qui lui avait fait perdre sa mère, son père, ses soeurs et ses frères... C'était a cause de quelqu'un de gentil qu'elle avait été priver d'amour maternelle... La petite fille retaint ses larmes.

Arata promet... Sera gentille avec tout le monde...

Puis elle releva la tête pour regarder sa nouvelle grande soeur. Essayant de savoir ce que celle-ci essayait de lui dire. Mais comment faire comprendre a une petite fille de neuf ans un univers qu'elle n'était pas senser connaitre puisque pour tout le monde elle était la imouto Hikari mais un univers dans le quel elle était née dans le futur... Un univers qu'elle ne pensait pas encore éveiller dans cet époque préhistorique pour elle... Tant de chose avait évoluer entre le moment présent et sa naissance.

Arata... Voudrait... Heuuuu... Troujours être aimer !

Elle tira la langue en rigolant. Elle ne pouvait pas dire qu'elle souhaitait sauver sa mère des griffes d'un homme qui était supposer être gentil... Non elle ne pouvais tout simplement pas. Cela paraitrait trop insencer par rapport a Tsubaki qui pensait toujours qu'elle était sa petite soeur...

Tout le monde unique. Personne identique...

Dans ses mains elle serra contre elle sa peluche en forme de chat. Elle n'avait aucune capaciter... Tout ce qu'elle pouvait faire c'était grasse a Yume Tama... Sans sa balle fétiche, elle ne pouvait absolument rien faire.

La jeune fille ne put s'empêcher de rire, sa petite soeur, était si adorable dans ses réactions. Comment aurait elle put savoir la tristesse qui se cachait dans son coeur, dans son âme... Comment aurait elle put l'aider... Elle l'enlaça tendrement, sans rien dire pendant quelques instants, puis elle la regarda dans ses yeux si immenses, étrangement, Tsubaki oubliait quelques peu ses peines avec elle. Car comme maiya, marcy se montrait forte avec elle, tsubaki se voulait forte pour arata, mais elle ne désiraitpas faire les mêmes erreurs que son grand père, celui du silence, qui laisse peser tellemnt de doutes, que l'âme se flétrit....

" Je t'aimerais toujours Arata, même si un jour nous sommes loin, quoi qu'il arrive, je serais toujours là .... "

Elle mit sa main sur le coeur, et souria a l'enfant. Tirant a son tour la langue, mais ne commentait elle pas déjà la même erreur que son grand père avec ses cachoteries... L'omission n'était il pas un mensonge... La jeune fille ne savait que faire.... Mais elle devait faire comprendre a sa petite fleur, que même loin, elle serait là pour elle, même si un jour elle serait cnfronté a son grand père ....


" Arata, il doit pas y avoir de secret entre nous ma douce .... Petite fleur, tu dois toujours te souvenir que quoi qui se passe, je t'aimerais, et je ferais tout pour toi, mais si jamais grand père et moi nous disputions un jour, j'aimerais que tu veille sur lui ... Je crois qu'il aura du mal a accepter certains de mes choix ... Pourtant je ne peux renier plus longtemps mes rêves ... "

Elle gardait le silence, l'enfant ne devait pas comprendre grand chose, mais comment expliquer a sa soeur, que depuis maintenant presque un an, elle possédait en elle, un trésor des cieux, qui l'éveillait a un monde voiler, qu'elle apprenait a s'harmoniser, a comprendre, que l'attaque, et tout les évènements récents, la poussait a agir ainsi....

Lorsque Tsubaki parla de secret, Arata pencha la tête. Aïe, dans quel situation était elle ? Elle voulait bien veiller sur le grand père, mais elle ne serait pas éternellement là. Mais la petite fille ne pouvait pas encore tout comprendre. Aussi pencha elle la tête sur le côté en fronçant les sourcils... De quoi parlais Tsubaki lorsqu'elle évoqua une possibilité de dispute futur ou de certain choix qu'elle ferait. La petite fille avait beau chercher une explication, elle n'en trouvait pas. C'est pourquoi, restant dans l'entrain de sa pseudo grande soeur, elle demanda :

Onee-chan ? Qu'es qui passe ? Pourquoi toi et Ojisan disputer ? Quoi toi choisir ?

Serte malgré ses neuf ans, Arata ne parlait pas bien. Mais elle avait toujours parler ainsi, elle avait toujours garder ces mimique enfantine. Jamais personne n'avait compris pourquoi, elle avait reçu toutes l'éducation digne d'une jeune fille de neuf ans dans sa situation. Pourtant son esprit enfantin demeurait et ne partait pas. Personne ne l'avait jamais rejeter pour cette raison. Peut être étai-ce une manière de garder un peu l'attention sur elle...

Comme elle le pensait , la petite fille ne pouvait comprendre, et malgrès qu'elle semblait parler comme une enfant plus jeune, Tsubaki savait que les apparences pouvaient être trompeuse, n'était ce pas une possibilité d'un traumatisme de la perte des parents, désirant attiré l'attention et l'amour dont elle manquait... Dans un soupir, la jeune fille décida qu'il fallait expliquer les tensions existantes avec son grand père mais aussi la mettre en garde sur les sorcières.... Car arata était trop douce comme elle pour pourvoir se défendre, Tsubaki elle n'avait finallement que les arts martiaux et fasse a de tels ennemis, cela servait il a quelques choses ....

" Arata, Ojisan et moi depuis longtemps n'arrivons pas a nous comprendre, grand père a une eu éducation stricte, notre clan est si ancien, que nos protocoles remonte a bien trop loin.... Hors sa peine est si grande qui ne peut ni parler de grand mère ou de nos parents ... Cette ignorance j'ai appris a faire avec... Mais mon coeur depuis longtemps possède des passions, que grand père ne veut comprendre .... Même si il tolère Taiki, depuis l'Yunio grand père et moi avons comme un fossé, je crois qu'il pense que je lui échappe... Voila deux ans qu'enfin je suis sortie du dôjo... C'est comme une prison doré qui se serait ouverte comprend tu ma douce ? "

Elle caressa les cheveux, essayant de réfléchir sans révèler tout a fait son secret... Cela n'était pas facile, alors elle raconta la légende que sa grand mère et son grand père lui racontait sur cet arbre aupied du quel elles étaient assises, celle de la légende que cet arbre était la protection d'une muse, après un silence elle reprit.

" Ma douce, grand père n'acceptera pas que je fasse l'école que je veux, ou que je devienne artiste, il n'est pas prêt a faire la concession d'un compromis.... De plus le fait qu'une sorcière m'est attaqué ... Je suis obligé de m'éloigné pour vous protéger ... Voila pourquoi si un inconnu viens te voir tu dois te cacher ... Depuis un an, les étoiles m'ont fait un esprit... Je ... iL y a pas si longtemps j'ai passé un concour de chant ... Il pense que je peux réussir, une amie m'a conseiller de tenter ma chance, ainsi que Taiki qui m'a toujours soutenu, et une autre amie ... J'hésite encore ma douce, car tu es là, que je veux pas blesser grand père, mais je veux aider les gens, je veux les rendre heureux, hors je blesserais grand père et une amie si je me lance, si je me lance pas, je les rends heureux, mais finallement c'est mon coeur qui sera malheureux .... "

La jeune fille regarda aux alentours, puis avec un clin d'oeil, comme pour rassuré la petite fille, mettre un peu de bonne humeur, elle souria, et lui chuchota a l'oreille comme un secret qui ne doit être dévoilé ... La fameuse histoire de la veille où elle avait chanter avec yuuki et la joie, la vibration qu'elle avait reçu... ainsi que la maquette, lui promettant de lui faire écouter.... Et ce que disait le résultat.... dans cette complicité, une voix retentissait au loin... On les appelaient pour rentrer, car la famille Ichijô allait partir ....

Oh, Arata comprenait beaucoup mieux qu'elle ne voulait bien le montrer... La petite fille ne savait juste pas où elle avait attérie. Quel jour était-ce, quel année, elle n'en savait absolument rien. Mais elle ne pouvais pas dire a une fille dont elle ne savait pas si c'était une sailor, une gardienne, une muse ou une humaine qu'elle était née dans le futur. Qu'elle était née dans cette univers. Fronçant ces petit sourcils, elle tentât de comprendre la relation ambigüe qui existait entre Oji-san et Onee-chan. Mais ces paroles lui rappelait vaguement des choses qu'elle avait entendu sur le passer d'Hoshiko... Une amie très proche de sa famille... Pendant une fraction de seconde, l'esprit enfantin vagabondait vers son passé a elle qui était le futur de tout ceux qu'elle côtoyait a présent. Elle re songea a beaucoup de chose qu'elle avait connue, qu'elle avait vécu malgré son jeune âge. Elle re songea a tout ce qu'elle avait put gagné. Tout ce qu'elle avait perdu.
Mais rapidement elle secoua sa petite tête de droite a gauche pour repousser ces idées noires qui venait hanté son esprit, faisant au passage voler ses cheveux dans les aires, fouettant doucement son visage poupain. Puis elle fixa Tsubaki de ses grand yeux.

Arata promet ! Oji-san pas énerver ! Oji-san être heureux toujours ! Arata promettre !
Mais quoi Onee-chan veux faire ?

Elle penchât légèrement sa tête sur le côté, affichant un sourire enfantin, souriant innocemment.

Tsubaki éclatait de rire, la frimousse de sa soeur, secouant sa tête était pourtant un bonheur si simple, pourquoi n'arrivait elle pas a se faire a l'idée d'un bonheur tout simple, en devenant docile, en obéissant et en suivant les études qui plairait a son grand père et marcy, a être toujour présente pour sa soeur, taiki, les sailors, une vie simple, si humaine, si banale.... Un sourire sur les lèvres, émue par sa petite soeur, Tsubaki réfléchissait a la question, que voulait elle vraiment ? en apparence la réponse était simple, que tous soient heureux, mais en réalité, la réponse devenait plus compliqué... Tsubaki avait déjà beaucoup sacrifié pour son grand père, pour s'intégrer dans le monde, alors devait elle vraiment s'oublier pour renonçer a tout ce qui la faisait vibrer, ne pouvait elle pas être plus simple ? Tsubaki ouvrit son médaillon, fixant la photographie dont les silouhettes restaient floue, des ombres comme tout son passé....

" Je veux ... Je veux le bonheur des miens.... des gens .... Mais je voudrais aussi pouvoir entrer dans le monde des artistes, la comédie ou la chanson... j'aimerais chanter pour rendre les gens heureux, les appaisés comme lorsque je te berçe pour oublier la réalité, les soucis, juste un instant profiter de notre bonheur ensemble .... "

Elle souriait, caressant la joue de l'enfant, si belle, si douce, Tsubaki se mordit la lèvre, pourquoi devait elle sentir ce besoin égoiste d'inspirer le bonheur aux autres... Pourquoi vibrait elle que dans les arts ....

Toujours la tête pencher sur le côté, faisant pendre une couette a la perpendiculaire du sol tendit que l'autre reposait sur son visage et son cou. Écoutant avec attention ce que Tsubaki lui disait. Mais la Onee-chan semblait changer d'attitude depuis qu'elle avait vue comment avait réagit le petit fille... Cette dernière fronça les sourcils, elle même n'était pas destiné a devenir une poupée docile de porcelaine, mais pour le moment, elle était encore jeune. Elle n'avait que neuf ans... Arata redressa donc la tête et ferma les yeux en serrant sa peluche dans ses bras pour tenter de se souvenir des paroles exactes de sa mère.

Dans les méandres obscurs, lorsque ton coeur privé de lumière cherchera son chemin, il te suffira de patience pour qu'au premier instant d'Eos tirant le char de l'astre solaire viendra Rosalba... Alors ton coeur s'illuminera d'un espoir qui t'offrira le choix de ton bonheur...

Bizarrement, elle parlais normalement mais c'était seulement parce qu'elle reportait mot pour mot ce que lui avait souvent répéter sa mère le soir pour l'endormir ou lorsque la petite fille pleurait. Elle avait prononcer ces quelques mots avec sa voix enfantine.

Onee-chan doit pas inquiète... Onee-chan aura beaucoup bonheur si écouter coeur.

Elle posa innocemment sa main entre les seins de Tsubaki précisément a l'endroit où était le coeur d'un être humain.

Onee-chan doit écouter coeur. Tout bien allez.

Revanchant sa tête sur le côté, elle afficha un sourire enfantin. Elle voulait voir Niou... Mais comment faire ? Elle ne pouvait pas l'appeller devant Tsubaki... Il allait falloir qu'elle trouve une solution...

Tsubaki fut presque suprises par les paroles de sa petite soeur, elle ne l'avait habituée a d'aussi belle phrase qui appaissait le coeur, sans qu'on s'en rende compte, les paroles atteignaient l'âme de Tsubaki lentement, plus profondément, mais déjà des voix aux lointains les appelaient, la grand soeur ne put intervenir, elle connaissait trop la docilité surtout en public... C'est avec un sourire qu'elle se releva avec Arata qui l'encourageait a écouter son coeur. Seulement la petite fille risquait d'être livré a elle même, car le grand père en arrivant vers les adultes, semblait suivre la famille Ichijô, et Tsubaki elle même avait des devoirs a faire, et ensuite a aller faire quelques cours pour des adolescents, s'excusant auprès d'Arata, Tsubaki salua tous les gens, avant de se diriger vers sa chambre pour se changer, et voir comment elle allait s'organiser.
Dans sa chambre la jeune fille était rêveuse, elle décida de profiter d'être seule pour écrire sur une feuille tout les point positif et négatif, afin d'y voir plus clair, d'aider dans ses choix avec un semblant d'objectivité...Elle espérait juste que Arata ne s'ennuie pas, car dans la foulée après le dôjô elle devrait retourner chez marcy, mais elle réfléchissa a comment faire une suprise a sa petite soeur, afin que celle lui pardonne ses absence prolongées....


[Fin ( je crois ;p )]